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15 Novembre 2023

Retour sur la 8e édition du dîner Prestige de Télécom Paris

Jeudi 9 novembre, plus de 30 donatrices et donateurs ont participé au 8e dîner prestige de Télécom Paris et de la Fondation Mines-Télécom à l’hôtel Raphaël : l’occasion de contribuer au financement de trois projets de recherche liés à la transformation numérique. Au total, 50 050 € ont été collectés et répartis en fonction des résultats des votes.

Un grand merci à tous les mécènes, à nos trois enseignantes et enseignants-chercheurs sans qui cette très belle soirée n’aurait pas été possible.

Les projets de recherche

Ada Diaconescu  – « Multi-scale feedbacks for sustainable socio-technical systems »

EC Ada Diaconescu

Son projet : « Multi-scale feedbacks for sustainable socio-technical systems. What do multinational corporations, organisms and ant colonies have in common? They must all coordinate a large number of processes while surviving unpredictable changes. To do so, they all rely on multi-scale structures, where information flows merge and split into various abstractions and recursive feedback loops. Identifying the key features of such structures is critical to developing sustainable, large-scale socio-technical systems. »


Elie Awwad« Distributed Acoustic Sensing over Optical Fiber Networks »

EC Elie Awward

Son projet : « Détection de signaux acoustiques sur les réseaux de fibres optiques. Ce projet vise à détecter des vibrations en mesurant des distorsions tout au long des câbles optiques des réseaux de communication. Les deux cas d’usage sont : la surveillance du réseau optique lui-même pour améliorer sa résilience, et la détection de vibrations de l’environnement du câble pour surveiller diverses infrastructures. »


Panos Mavros – « Le numérique et la (neuro)science de la ville humaine : recherche et pédagogie »  

Pavros Mavros

Son projet : « Le numérique et la (neuro)science de la ville humaine.  La création d’un « spatial interaction lab” avec des outils neuroscientifiques a été pensée pour étudier l’interaction de hommes avec des dispositifs numériques, qu’elles soient dans des situations réelles, comme dans la rue. Cette approche de neurocognition et neurourbanism tire ses origines de l’intégration des sciences cognitives, des sciences sociales avec le design d’interaction. »

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